A la recherche de la fleur

Alia et Leïla marchaient et se téléportaient depuis une semaine déjà, mais elles n'avaient toujours pas trouvé la fleur de Gandala, au point même de se demander si le vieux Grandil ne s'était pas prit un grand coup de bâton sur la tête. Puis Alia avait eut l'idée de se rendre à la surface des commerçants, elle savait que là bas, on trouvait tout, même les objets et les ingrédients les plus rares. La jeune fille savait que ce serait très cher, vu la rareté, et elle savait aussi que l'information sur les objets rares n'était pas gratuite non plus, pour finir, il fallait avoir une bonne tête pour l'obtenir afin que les objets rares et puissants ne tombent pas entre de mauvaises mains. Alia passa devant l'ancienne carriole de Kali, cela lui fit bizzard, de plus, tout avit était détruit. Par curiosité, elle entra un instant à l'interieur de la carriole et fut attristé du spectacle, elle espérait que jamais Kali ne voit ça. La porte avait été fracassé, et des morceaux de bois jonchaient le sol, les livres, déchirés, piétinés étaient eux aussi, sur le sol. La jeune fille regarda ce désastre avec regret, et pensant à Kali, elle ne devait jamais voir ça...

Premier combat : 19/08/2008 Combats menés : 84

Leïla suivait la princesse depuis le début de l'expédition. Elle pensait vraiment qu'elles ne trouveraient jamais la fleur, mais elle suivait toujours Alia car la princesse ne baissait pas les bras et continuait avec espoir et courage à chercher la fleur de Gandala. Leïla retrouvait la surface des commerçants avec une étrange sensation. C'était le premier endroit où elle était venue lorsqu'elle avait fuit le royaume de la Foudre. Lorsqu'Alia pénétra dans une carriole, la jeune fille la suivie, elle ne mit pas longtemps à comprendre ce qu'il s'était passé, ce ne pouvait être que des gardes de Darkhell qui auraient put faire ça.

- Votre altesse, pensez-vous que nous allons trouver la fleure de Gandala dans la surafce des commerçant. Je sais que l'on y trouve toutes sortes d'objets et ingrédients magiques et rares, mais cette fleur est plus que rare...

Alia regarda les loivres un moment, puis elle redescendit de la carriole, toujours suivit par Leïla. Il t eut un léger cop de vent qui fit s'envoler le bout de ses mèches blondes qui dépassaient de sa capuche. La jeune fille fit un sourire avant de se retouner vers Leïla.

- Rien n'est plus rare que rare. Et même les objets rares se trouvent, sinon on ne dirait pas des objets rare, mais des objets inexistants.

La jeune fille reprit sa marche, sa demoiselle d'honneur sur ses talons. Elle svaiat exactement où elle voulait aller, c'était une boutique dont son maître, Mythos, lui avait parlé, si le légendaire Mythos lui avait conseillé cet endroit, c'est qu'il devait forcément y avaoir quelque chose d'intéressant là bas, si ce n'était pas la fleur, ce serait certainement une information...

Premier combat : 19/08/2008 Combats menés : 84

Leïla suivait. Alia avait vraiment l'air déterminé et sûre d'elle. Et elle avait l'air de savoir exactement où elle voulait aller. En chmin, Leïla s'émerveillé devant la joie qui se préssait ici. Lorsqu'elle s'y était rendu, elle était tellement faible et fatiguée qu'elle ne s'en était pas vraiment aperçut. Il y avait une musique joyeuse qu'un homme, assis sur un tabouret jouait, des enfants dansaient en riant, des jeunes filles se faisaient inviter par des jeunes garçons. Il y avait d'étranges objets dans les vitrines. Puis tout à coup, Leïla fut attiré par quelque chose vers une vitrine, c'était u n magasin rempli de tissus. Il y en avait de toutes les matières et de toutes les couleurs.

- Oh pr... Mademoiselle, regardez ! Tous ces tissus, toutes ces couleurs !

Leïla adorait la couture, et c'était toujours elle qui fabriqué les robes d'Alia pour les grandes cérémonies, les fêtes, et même les jours "normaux".

Alia ne prenait pas le temps de regarder les anfants s'amuser, les jeunes gens danser et les vitrines des boutiques. Lorsqu'elle entendi Leïla, elle se retourna et aperçut le magasin, Leïla avait raison, les tissus étaient vraiment magnifiques. La princesse resta un moment sans rien dire. Les deux jeunes filles devaient trouver au plus vite la fleur de Gandala, mais cela faisait une semaine qu'elles ne s'étaient pas détendues, et ce magasin avait l'air de beaucoup intéresser Leïla. Alia ne savait que faire, elle pensait que Leïla n'avait pas à subir toute cette aventure. Finalement, Alia décida de la laisser entrer dans le magasin.

- Bon écoute, si tu veux, tu peus rentrer dans ce magasin.v Tiens, voilà assez d'argent pour acheter autant de tissu que tu veux. Mais ne sors pas tout ton argent d'un seul coup, on pourrait te voler. De plus, ne parle qu'à la vendeuse. Je te laisse ici, moi je vais chercher la fleur et je te rejoind.

Premier combat : 19/08/2008 Combats menés : 84

Leïla était émerveillée. Elle fut prise d'une joie immense lorsqu'Alia lui donna l'argent et l'autorisa à acheter du tissu dans le magasin. La jeune fille fut quand même déçut que la princesse ne vienne pas avec elle. Elle èspérait qu'elle n'allait pas se faire arnaquer, naïve comme elle était. Elle décida de suivre le conseil d'Alia, peut-être que si elle ne sort pas tout son argent, la vendeuse ne l'arnaquera pas. Après tout, on ne pouvait pas dire que Leïla était vêtu richement. Les deux jeunes filles s'étaient habillées de robes de paysannes, et portaient toutes deux de longues capes pour se couvrir du froid. Alia portait un grand capuchon qui ne laissait pas voir son visage. Leïla fit un grand sourire.

- Merci Mademoiselle de me laisser acheter du tissu. Ne vous en faites pas je ne sortirais pas du magasin. Je suis sûre que vous serait contente du résultat que tous ces tissus donneront.

La jeune fille entra joteusement dans le magasin et fut encore plus émerveillé. L'interieur était encore plus grand que ce qu'elle avait imaginé, et il y avait encore plus de tissus. Un jeune femme qui avait l'air très gentille s'approcha. Elle était vêtue d'une robe que l'on aurait pu qualifier de riche par le tissus dont elle était faite, une robe verte émeraude avec des couture verte plus clair. Leïla fut éblouie par cette jeune femme et s'inclina devant elle.

- Bonjour, je suis Flora la vendeuse. Je peux vous aider ?

- Oh bonjour ! Vous avez une robe magnifique.

- Vous trouvez ?

- Oui !

- C'est très gentil à vous. C'est moi qui l'ai cousue, j'adore coudre !

- Vraiment ? Moi aussi !

- Et bien je sens que nous allons très bien nous entendre !

Flora rit. Leïla regarda différents modèles que Flora lui montra, et leus deux jeune filles sympathisèrent tout en parlant couture et tissu.

Alia laissa partir Leïla, heureuse de voir son amie si joyeuse. Elle partie en direction du magasin. C'était un étrange magasin, un arbre immense gros comme une maison, servait de magasin. Alia, surpsie, entra quand même. C'était un magasin de magie mixte à ce que la princesse pouvait voir. Il y avait, là aussi, des objets de toutes sortes et de toutes utilités. Elle s'approcha d'un objet qui la fit sourire, c'était un objet terriens, c'était un stylo bic. Mais à peine l'eut elle touché qu'il se leva et fut comme prés à écrire ce qu'Alia lui dicterais tout en était posé, la mine sur un papier.

" J'aurais du me douter qu'un objet sur Telania, n'importe quel aspect qu'il ai, ne soit pas "normal"... "

Elle fit le tour de la boutique tout en s'interrogeant sur l'utilité de certain objets ou en trouvant très pratiques d'autres d'entre eux. La jeune fille vivait maintenant depuis deux ans sur Télania, et pourtant, elle était toujours aussi étonné à chaque fois qu'elle tombait sur un nouvel objet magique. Une clochette la fit sortir de ses rêveries. Lorsqu'elle se retourna, la princesse sursauta, face à elle, il y avait une "dame" avec pleins d'yeux aux dessus de la tête.

- Bonjour. Je peux vous aider ?

- Ah... euh... Oui, pardon... J'aurais besoin d'un renseignement.

- Un renseignement ? Très bien je vous écoute.

Alia s'approcha de l'étrange dame et se pencha vers elle, elles étaient seules dans la boutique, et donc personnes ne pouvait les entendre, mais les murs ont des oreilles, règle de prudence numéro un lorsqu'on délivre un secret.

- Sauriez-vous où je peux trouver la fleur de Gandala ?

L'étrange dame la regarda avec méfiance et se recula un peu. Elle regarda un intant au dehors comme pour apercevoir un ennemi qui n'existait pas.

- Je ne donne pas de renseigment aux gens qui se cachent, surtout des renseignements de ce type. Les sbires de l'empereur du Mal et les mercenaires se cachent eux aussi, mais dès qu'ils obtiennet quelque chose ils s'en servent pour faire des catastrophes.

- Vous ne pourrez jamais trouver plus bénéfique que moi.

La jeune fille ne senti aucune présence ormis celle de la vendeuse en face d'elle. Elle leva son capuchon laissant découvrirent son village qui était si bénéfique qu'on aurait dit qu'elle brillait. L'étrange dame cligna des yeux éblouit par tant de blancheur, et cela n'était portant que la tête. les cheveux de la princesse était si brilant, qu'on pouvait les comparer à un torrent d'or.

- Votre altesse... Pardonnez-moi, j'ignorez qui vous étiez...

- Ce n'est rien, mais jamais personne ne doit savoir que je suis venue ici, je viens de la part d'un ami, un ami en qui j'ai confiance, en me découvrant, je vous fait confiance aussi. Mais je vous en prie, j'ai besoin de ce renseignement, la vie de ma soeur en dépend !

- Ne vous en faite pas votre altesse, c'est votre jour de chance.

Elle lui fit signe de s'approcher et elle lui chuchota à l'oreille le plus doucement possible afin que même une personne à côté d'elle n'aurait rien pu entendre.

- J'ai ici même la fleur de Gandala.Suivez-moi, dans l'arrière boutique.

Les deux femmes partirent dans l'arrière boutique. La dame fit attendre Alia ici et parti à l'étage. Alia entendi de drôles de bruits, et elle se dirigea vers un coin de la pièce. Elle fut prise de stupeur lorsqu'elle vut ce que c'était, il y avait une trebntaine de petites cages, et toutes contenaient un Lutin...

Bientôt, l'étrange dame redescendit avec un coffre immense et certainement lourd qui flottait derrière elle. Elle le posa sur le sol, et fit une incantation, les deux verrous qui verrouillés le grands coffre s'ouvrirent. Un autre coffre plus petit sorti, la dame fit une autre incantation, et à nouveaux les verrous s'ouvrirent. Il y avait beaucoup de coffres et Alia pensa qu'il fallait être fou pour vouloir voler ce qu'il y avait à l'interieur. Enfin, un tout petit coffre apparut. L'étrange dame le prit fit une dernière incantation, très compliqué, Alia n'en revenait pas. Et elle vit enfin apparaitre la fleur de Gandala. Elle était magnifique. L'étrange dame referma le petit coffre, refit l'incantation et donna le coffre à Alia.

- Vous n'aurez nul besoin de faire une incantation pour l'ouvrir, il s'ouvrira au simple contact de votre pouvoir que seul vous posédez.

- Merci, combien vous dois-je ?

- Vous êtes une jeune fille honnête qui n'a que des problèmes, je vous en demande deulement 500 pièces d'or.

- 500 pièces d'or ?! C'est tout ?

- Oui. Et ne discutez pas, je n'en prendrai pas plus.

- Oh très bien... mais je vais certainement vous en donnez plus car... Car je veux que tous ces lutins soit libres !

L'étrange dame les regarda. Est-ce que la princesse était folle, elle voulait libérer les trente lutins les plus fort de Télania.

- Ce sont des objets magiques redoutables.

- Ce sont des êtres vivants !

- Très bien...

- Je vous en conjure, ne revendez plus de lutin.

L'étrange dame la regarda bizzarement, puis elle compris ce que voulait dire Alia. Décidemnet, c'était vrauiment l'Elu du Bien, elle se souciait de la liberté des lutins de la liberté des gens, de leur conditions de vie... L'étange dame esquissa un sourire.

- Vous avez raison, je ne dervrais pas vendre d'êtres vivants. Très bien, à partir de maintenant, je ne venrdai plus de Lutin. Ne les achetez pas princesse, je vous les donnes, vous leur trouverez certainement un endroit pour vivre.

- Je vous remercie.

Alia donne les 500 pièces d'or à l'étrange dame, puis ce fut l'heure de partir. La jeune fille remit son acapuchon, et tous les lutins dansaient et chantaient autour d'elle. Elle les cacha ce qui les mausa, puis elle sortie, le coffre avec la fleur serré contre elle. La princesse s'arrêta devant le magasin où Leïla l'attendait. Puis sans bruit, les deux jeunes filles s'en retournèrent au Palais de Cristal, Alia pleiene de Lutins, et Leïla les bras chargés de tissu...

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