Le retour à son poste

Un cheval un noir galopait au loin de la forêt Syannel, sur sa selle il y avait Leya, l'elfe de la cité elfique de cette forêt et capitaine de la garde royale du roi Athelas. Athelas attendait Leya, son retour. L'elfe rousse était pratiquement en retard, elle attachait son cheval dans l’écurie et partait au palais elfique. L'équipe de l'elfe était déjà dans la grande salle ainsi que le roi lui même, avant de taper à la porte de la salle, elle souffla un grand coup et entrait.

- Votre majesté, j'en suis vraiment désolée de mon retard si tardif...

Leya s'inclinait et le roi soupirait en fermant les ses yeux vert luisant.

- Où étais-tu ?

- Eh bien... dans la forêt.

Leya savait bien mentir, mais est ce pour longtemps ? Athelas avait élevé Leya depuis toute petite, mais elle n'oserait plus mentir pendant des siècles. Elle aimerait tout lui dire mais elle n'arrivait pas.

HS : je joue le roi des Elfes Sylvestres

La cité Elfique de Toaminassë dont le nom signifie cité de la forêt, était la capitale des Elfes Sylvestres. Elle vit en harmonie avec les arbres, mêlant architecture et nature, avec des bâtiments clairs couvertes de verdures et des maisons suspendues aux grands arbres, parfois millénaires. Le palais était situé au centre de la ville, et empruntait un style gothique, avec de hautes tours colorées de vitraux représentants des personnages elfiques et des événements naturels comme les saisons ou les dryades. le trône se situait dans la tour principale, reliée par des passerelles de marbres couvertes de mousse, devant un sublime vitrail qui l'illuminait. Il s'agissait en fait d'un arbre d'une taille honorable, noueux dans lequel un trône avait été taillé. C'est là qu'Athelas se tenait, menton appuyé sur son poing, pensif, alors qu'au même moment Leya déboula dans la salle. Le souverain la regarda s'expliquer avant de demander d'un air indifférent :
— Où étais tu ?
Elle lui répondit pendant qu'au même moment, on lui servit dans un verre pied en bois un jus de mandragore. Le verre était d'une finesse sans égale si bien qu'on l'aurait cru en bronze. Il était serti de quelques pierres discrètes mes élégantes qui brillaient à la lumière du vitrail. Il formait un arbre dont les branches nues portaient la coupe accueillant le liquide. Une fois bu, le roi posa le verre et plongea ses deux yeux interrogateur dans ceux de la capitaine :
— Et que faisais-tu dans la forêt ?
Il y avait dans sa voix comme quelque chose qui relevait du défi, à savoir si la jeune elfe allait persévérer dans son mensonge ou non.

Leya regardait le roi dans ses yeux vert brillant et répondait :

- Je me baladais et je chassais.

L'elfe rousse avait oublié de poser son sac elfique dans son appartement du palais.

- Oh, ça ce n'est rien... c'est juste un sac rien d'autre. Passons, vous m'aviez demander, je suis ici mais en retard, je suis vraiment navrée.

Les deux gardes qui étaient devant le trône qu'Athelas demeurait, regardait la jeune fille rousse.

Le roi sembla ne pas faire attention à sa remarque sur son arc et ne réagit même pas. Il n'en avait cure. En vérité, si son capitaine était là c'était pour une raison précise et il allait y venir.
— nous avons reçu un message de sa majesté Stalven, commença-t-il d'une voix grave en levant devant lui une enveloppe, c'est une lettre, évidemment, c'est plus formel. Elle parle de toi.
Il plongea sont regard dans celui de la capitaine elfe avant de continuer :
— Sa majesté nous dit qu'elle a eu le plaisir de te rencontrer à l'infirmerie du Palais de Cristal et qu'il voulait te remercier pour ton soutient aux infirmiers et médecins. En effet, il y avait là un grand nombre d'ancien Rebelles et d'innocents qui étaient parfois dans de biens mauvais états. Bref, des éloges sur quelques lignes, puis, surprise, une nuance. "Cependant, cita-t-il, nous avons eu la bien mauvaise surprise d'apercevoir à ses côté, le renégat déchu Forciticus, ennemi de la nation, et chef des opposants au régime durant la guerre". Le prince Stalven s'est don interrogé sur le niveau de relation qui vous unie toi et cet homme.
Athelas reposa la lettre sur l'accoudoir de bois et se leva pour s'approcher de la jeune elfe. Il passa une main sous son menton, la contourna en glissant son doigt surqu'à la gorge et se mit derrière elle en lui soufflant à l'oreille :
— Le prince est inquiet à propos de notre pacte de neutralité. Il espère que aucun de nous n'est allé aidé le Bien, ou le Mal y compris toi. N'est-ce pas Leya ?
Le souverain la lâcha et s'éloigna de sa capitaine pour lui demander d'une voix lente et oppressante, de façon à détacher chaque mots et chaque syllabes de sa phrase :
— Leya, as-tu aidé les Rebelles de la Terre ?

Leya était démasquée par son roi, il la connaissait par cœur car l'elfe rousse se sentait un peu bizarre et baissa ses yeux vert. Elle pouvait plus le retenir mais elle n'arrivait pas à le dire ce qu'elle avait fait, pourtant elle n'avait rien fait de grave.

- Je les ai soigné, je ne pouvais pas voir des blessées souffrir.

L'elfe rousse regardait à nouveau son roi en fixant de son regard.

- Je sais ce que vous allez dire, vous me le dite depuis des siècles depuis que je suis petite. Mais... Je...

Leya s'arrêtait de parler lorsqu'Athelas reprit parole.

Athelas pivota sur lui même, comme un spectre, et sans ne montrer aucune émotion regarda l'elfe femme qui lui faisait dos. Elle n'osait répondre et même si elle ne le montrait pas, elle avait peur.
— Rassure moi Leya, siffla-t-il dans le silence de la salle, tes multiples escapades de plusieurs jours dans la forêt, soit disant pour t'entrainer et récolter des plantes, ce n'était pas pour rejoindre la planque rebelle qui se situe à seulement un journée d'ici ?
autour de lui, les gardes royaux restaient indifférent à la situation. Mais aux yeux d'Athelas, ils étaient de trop. Alors d'un claquement de doigt, il leur ordonna de sortir, pour pouvoir discuter simplement et calmement. Une fois seul avec elle, il revint poser ses mains sur les épaules et la gorge de cette dernière en continuant son interrogatoire par de multiples sous entendus :
— Alors que je t'ai élevée comme ma fille, tu m'aurais trahit ? Retourne toi et dis moi dans les yeux "non votre majesté, jamais je ne vous ai trahit".
Et à ses mots il fit mettre Leya face à lui pour mieux plonger ses yeux dans les siens.

- Non ! Je ne l'ai pas rejoins ! et Non votre majesté, je ne vous ai jamais trahit. Pas à mon père... je...

Leya soupirait profondément.

- J'en suis désolée. Mais moi, vous voir souffrir je ne pourrai pas. C'est pareil pour les rebelles blessés. Je vous en ai rapporter une autre race d'Athelas.

L'elfe rousse prenait son sac qui était caché derrière elle et le montra ainsi qu'à son père adoptif ainsi que roi des elfes Sylvestres.

- Vous me pardonnez ?

Disait-elle en le regardant toute mignonne comme quand elle était petite.

A dire vrai, Athelas ne s'attendait pas à une telle réaction. Il était certain de sa culpabilité et ce dont Leya se disait fautif était d'avoir cueillit, dans une autre forêt, des plantes rares. Alors, il s'en retourna dans son somptueux fauteuil, en faisant la moue d'abord puis lâchant un sourire amusé.
— Je ne vais pas t'en vouloir pour ça ! sourit-il, tu as bien raison de nous ramener de ces plantes, même si ce n'est pas ton rôle. On a toujours besoin de ses ingrédients, ils sont utiles pour nos produits.
En voyant sa fille adoptive reprendre ses attitudes de petites filles, il sourit une nouvelle fois, en repensant à tout ce temps depuis et il secoua la tête gentiment :
— Je te pardonne de tout ma fille.
Et il passa sa main dans ses cheveux en la complimentant :
— Tu as vraiment de beaux cheveux.

Leya souriait mais aussi rougissait par les compliments de son père adoptif.

- Mes cheveux venaient de ma mère n'est ce pas ?

Ses yeux brillaient et fixaient aux ceux de son père, elle aimait tellement son père qu'elle ne pensait plus ce que le roi Sylvetres avait dit par rapport à ses parents qui étaient du Palais. Leya se retourna en marchant vers un portrait du roi Athelas Lavar.

- Je suis heureuse de vous avoir comme père.

Dehors il faisait presque nuit, on pouvait voir les eldar dans le ciel.

— Oui en effet, ta mère Tauriel était une excellente guerrière, tout comme ton père, Legolas. Leur disparition nous a tellement affecté.
La paroles du souverain s'étaient faites dans un silence religieux, sans aucune pointe de sympathie, dites d'une façon si neutre qu'elles en paraissaient glaciales.
— Je suis fier de toi conclut-il.
Et il leva sa tête pour contempler à son tour les étoiles. Il fixa une constellation et repensa à son passé avant de déclarer :
— ça ne sert à rien de penser au passé, les morts sont bien où ils sont.

- Vous avez raison. le passé est passé, nous sommes à présent dans le présent. Mais le roi Thranduil était un roi fort tout comme vous. complimentait l'elfe rousse avec un sourire. Man sad herth ?

Quand elle parlait à sa langue natale, elle devenait de plus en plus ravissante.

- Avons-nous une mission à accomplir ?

Ses deux dagues étaient toujours attachées à sa ceinture elfique, tranchante qu'elles peuvent coupées facilement la tête d'un orc.

- Berion in Tawarrainth in ù-vill

*Où est la troupe
* Je protège les elfes Sylvetres qui ne sont pas fort.

Le roi des Elfes sylvestres se tut un moment et se redressa. Il paraissait toujours souriant et amicale, comme s'il avait oublié le conflit de début de conversation. Pourtant, tel un rapace, il volait autour de sa proie afin de mieux la saisir et d'accéder à la vérité. Il s'approcha de sa fille adoptive et lui caressa la joue :
— Tu as raison d'aider les plus faibles, commença-t-il quand les jambes de la guerrière commencèrent à prendre littéralement racine dans le sol, afin de l'immobiliser. mais as tu aidé les rebelles avant le discours de l'Empereur ?
Leya était devenue un arbre jusqu'en au de ses jambes, et elle ne pouvait plus se mouvoir, ni même ses mains, retenues par deux lianes venues du sol. Sa surprise fut énorme mais elle savait que ce sortilège était l'oeuvre de son souverain qui contrôlait les arbres avec une grande dextérité. Ce dernier retourna s'asseoir, visage fermé mais haut, bras croisés et toisant de ses deux yeux sa fille.
— Je refuse de devoir te livrer à l'Inquisition. Mais je veux la vérité. Donne là moi et je frais tout mon possible pour prouver à sa majesté Stalven que tu n'as jamais trahit notre pacte de neutralité. Réponds-moi? As-tu combattu des soldats du seigneur des Ténèbres ?

Leya regardait le trône du roi Athelas qui était vide lorsque celui ci faisait le tour sa fille adoptif. Elle changeait le regard vers son père quand il fut enfin assise sur son fauteuil.

- La vérité, c'est que je suis partie me promener dans la forêt du continent du Cristal après le discours tranquillement ramassé les plantes rare que nous avons pas et soudain j'ai vu le frère du prince Stlaven.

Le roi était à l'écoute de sa fille qui disait vrai et elle reprit.

- Ensuite, il m'avait qu'il avait plusieurs blessés dans la salle de guérison au palais, je suis allée les aider et je suis partie puisque vous m'aviez appelé. Voilà vous savez la vérité.

L'elfe rousse fixait toujours les yeux vert de son père.

Les branches tirèrent sur les membres de la jeune Elfe et le souverain s'approcha d'elle pour plonger ses deux yeux verts dans les siens, sans même une seule fois cligner des paupières et ce pendant plusieurs minutes, comme s'il était en train d'examiner ses pensées. Alors, elle sentit comme une voix en elle, celle d'Athelas qui lui disait :
— Tu as le droit d'aider qui que ce soit aujourd'hui, l'Entente a été signé, il n'y a ni Bien ni Mal. Ce que je veux savoir c'est si tu as aidé les rebelles avants cette date !
La voix était glaciale et résonnait dans l'esprit de la jeune femme. Elle ne pouvait pas bouger et son roi posa ses deux mains sur ses épaules alors qu'il passait derrière lui. L'une d'elles vint attraper ses cheveux et les lui tirer en arrière pour faire basculer sa tête.
— As-tu combattu l'armée des Ténèbres ? siffla-t-il ?

- Je vous dit la vérité ! Je n'ai pas battu l'armée des Ténèbres. J'ai juste chasser des orcs qui traînaient dans la forêt.

Leya en avait assez d'être attacher comme une prisonnière.

- Je suis votre fille adoptif comment vous pouvez me traité ainsi ?! Je dis la vérité, je n'ai pas battu l'armée des Ténèbres.

Ses pauvres cheveux étaient tirés en arrière, elle voulait s'en défaire mais impossible.

La dernière phrase de Leya fit réagir le roi des Elfes Sylvestres qui pacha tout emprise sur celle-ci. Les lianes retournèrent au sol et l'arbres redevint racines. Désormais la jeune femme était libre. Elle regarda son souverain qui s'assit une fois encore dans son trône en se frottant les yeux de son index et son pouce.
— Tu dois me comprendre Leya, commença-t-il, mais j'ai un devoir à respecter. Si jamais un de mes sujets a pris part dans le conflit, le prince Stalven ou l'Inquisition s'en serviraient pour me faire tomber.
Il soupira et prononça quelques brèves excuses avant de commencer à écrire à l'aide de la magie sur une feuille vierge. Il expliquait que jamais sa capitaine n'avait participé à la Guerre des Diamants et que sa rencontre avec Forciticus ne datait que de ce jour où l'Empereur avait fait son discours. Il signa, cacheta la lettre et siffla. Alors un pivert s'engouffra par l'une des fenêtres. Athelas lui attacha la lettre roulée à la patte et lui donna l'ordre de s'envoler. Une fois une nouvelle minute de silence passée, il demanda :
— Si jamais tu avais été du Bien, je ne t'aurais pas pour autant dénoncer. Sa majesté Stalven comptait t'engager comme assassine pour tuer son frère. Je n'aurais pu accepter.

- Je sais père...

L'elfe rousse bougeait ses poignés, et continuait à regarder le roi en marchant de droite à gauche.

- Comment ça se fait qu'il y a encore des orcs dans les forêts ? Vous dites que la paix est ici à Télénia. Mais ça m'amuse de les battre.

Leya souriait en regardant le petit lac qui était sur à sa gauche et tout d'un coup elle posait un regard sur Athelas comme si elle avait envie de s'amuser avec son père adoptif.

- J'imagine, que vous êtes occupé ?

Le roi des Elfes Sylvestres était quelqu'un de très arrogant qui méprisait les autres créatures et les Orcs par dessus tout. Ainsi il n'en voulu pas à sa fille adoptive de s'amuser à chasser ces créatures immondes et stupides. C'est pourquoi il ne manqua pas de féliciter Leya à sa manière :
— Les Orcs ne méritent pas de vivre. J'espère qu'ils périront tous un jour.
Il se leva de son trône et à la question qu'on lui posa il haussa les épaules en répondant :
— Des choses à faire, on en a toujours, mais j'ai aussi le droit de faire des pauses pour faire des choses qui me plaisent.
Il s'approcha à son tour de la lucarne pour observer à son tour le petit lac. Il était toujours aussi clair. C'était agréable de le voir inchangé depuis des siècles, comme si le temps ne lui faisait aucun effet. Il réfléchissait en même temps à la question de la jeune elfe. Elle devait avoir une idée derrière la tête pour lui proposer cela.

Leya continuait à marcher de gauche à droite lorsque son père adoptif se rejoins à elle devant le lac. L'elfe rousse souriait en regardant les yeux verts de son roi.

- On pourrait faire un tour dans la forêt vous et moi ? comme quand j'étais petite ?

Elle espérait qu'Athelas acceptait sa proposition. Leya s'accroupissait devant le lac et mettait un doigt dans l'eau bien douce.

Le roi s'attendait à la proposition de sa fille. Il hocha les épaules et comme indifférent il répondit :
— Si tu veux.
Et il quitta la salle du trône pour marcher en direction de la sortie. Au passage, il s'adresse à ses gardes pour leur ordonner de surveiller le Palais en son absence.
Une fois dehors, Athelas regarda les arbres et caressa les buissons àn son passage. Il sentait le bonheur et le repos de la forêt. Il semblerait que depuis la paix, les dryades se soient apaisées et la végétation avec?
— Sens cette paix, déclara-t-il, la forêt est heureuse.
Et il cueillit une fleur pour la mettre dans les cheveux de Leya. A la tige coupée, une nouvelle fleur repoussa comme par enchantement, un petit tour de magie que le seigneur des Elfes Sylvestres connaissait si bien.

Leya suivait le roi toute en souriante et descendait des escaliers et lorsque les portes du palais s'ouvraient, la belle forêt nous faisait face. Elle était toujours très belle, la paix était là dans la forêt Syannel. L'elfe rousse marchait devant son père adoptif, elle était toujours équiper de son arc, de ses deux dagues. Ses cheveux volaient grâce au vent doux de la forêt. Leya était sur un rocher haut et se retournait face à Athelas.

- J'ai de la chance de naître ici. Je me rappelle autre fois, Awen et Haldir on s'amusait au loin de la forêt, que vous, m'aviez punis car j'étais hors de la forêt.

L'elfe rousse fermait les yeux et sentait l'air pur de la forêt. Ensuite elle descendit du rocher et suivit son roi en direction un peu plus loin du palais. Athelas se retournait vers Leya en posant une fleur dans ses cheveux longs roux. Une fois couper la tige, une nouvelle fleur repoussa par magie.

- C'est... comment le dire... wouah ! comment vous faites ça ?

Le roi sourit en lâchant un petit rire en raison de l'admiration de Leya à propos de son sort. Il écarta ses bras, et tout autour de lui poussa des plantes, des feuilles et des rosiers. Même de son corps jaillit des branches fleuries. C'était quelque chose à la fois d'unique et de magnifique. Pourtant, Athelas le savait bien, sa magie n'avait rien d'impressionnant si l'on comparait avec le pouvoir des Dryades. Alors il arrêta son sort et sourit encore une fois en ouvrant les yeux.
— Lorsqu'on est roi des Elfes Sylvestres, expliqua-t-il, on a un des pouvoirs dryades. Les druides ont le pouvoir du soin, nous les elfes Sylvestre, nous avons le pouvoir des plantes. On peut aussi parler aux animaux et aux arbres.
Et comme pour confirmer ses propos il se tourna vers une plante, se baissa et articula quelque chose que ne put absolument pas comprendre Leya. Alors, de la fougère, sortit un petit écureuil roux qui grimpa sur le bras duo souverain. l'animal se mit à s'agiter et faire des petits bruits à son tour.
— Leya, je te présente Scotty, il vient de me dire son nom.

- C'est incroyable ! j'aimerais faire ça à mon cheval.

Leya s'approchait du roi en regardant l’écureuil roux d'un air interrogatoire.

- Et Scotty que dit-il ?

La rousse regardait par la suite son père adoptif ce qu'il faisait. Elle aimerait faire pareil que son roi, mais elle préférait d'attendre pour lui demander. Il faisait beau, les oiseaux et toute sortes de créatures volantes chantaient, ils étaient libre.

Le roi des Elfes sylvestre laissa partir le petit écureuil sur la branche d'un arbre en le suivant du regard se faufiler entre les feuilles. Il se tourna ensuite, lorsqu'il le perdit de vue, vers Leya et répondit :
— Il m'a simplement dit qu'il était ravi de me rencontrer.
Athelas continua d'avancer dans la forêt en regardant autour de lui. Il y avait au sol des pierres runiques, assez discrètes que seul des yeux avertis pouvaient discerner. C'était en langue elfique.
— Au dela de ses pierres, expliqua-t-il, se situe le domaine d'une dryade de la forêt Syannel. Personne n'a le droit d'entrer hormis les créatures de la forêt.

- Et pourquoi pas nous ?

Leya regardait les pierres runiques et ainsi son roi. Tout d'un coup un groupe d'elfe passait à l'endroit où était Leya et Athelas. Le chef du groupe s'inclinait et prit la parole :

- Votre majesté nous avons finis notre mission. Quel est votre ordre ?

L'elfe rousse regardait le chef du groupe dans ses yeux d'un vert clair, il était vêtu de tunique de guerrier blanc et vert kaki, ses cheveux long étaient d'un blond blanc. A son tour le chef du groupe regardait la fille adoptif de son roi Athelas. Leya souriait et détournait le regard, en regardant les autres elfes.

» De retour !
» Le retour du roi
» Le retour de Roy
» De retour au palais du mal
» Au retour de l'Inquisition (pv : Roy)